
Pronto ad uccidere (Francesco Prosperi, 1976)
Polar italien au rythme soutenu à défaut d'être véritablement intéressant. Le début est pourtant prometteur (la mère handicapée, les rues de Rome, le braquage, l'arrestation puis la prison) mais, paradoxalement, le scénario s'essouffle dès la véritable identité du héros (bien fade Ray Lovelock) révélée. Peu ou pas de contexte politique, le film se concentre uniquement sur l'action. Martin Balsam est très bien.