
Les arpenteurs (Michel Soutter, 1972)
On pourrait reprendre, presque à la virgule près, les quelques mots rédigés pour L'escapade et les appliquer à cet autre pensum du cinéaste helvète. Là encore, tout sonne faux, tout est dévitalisé. Nous sommes en présence de ce qu'il peut y avoir de pire au cinéma: la prétention infinie de faire de l'Art en surjouant l'abstraction. En fait d'abstrait, il n'y a là que de l'abscons. Irregardable malgré Marie Dubois.