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Avec la peau des autres (Jacques Deray, 1966)
Malgré la promesse d'enjeux palpitants, le film n'est pas à la hauteur de ce qu'on attend d'une histoire d'espionnage à l'époque de la Guerre Froide. La faute sans doute à une densité dramatique inexistante (la mise en scène de Deray est purement illustrative), à des personnages avec peu d'épaisseur et à une narration très conventionnelle. Seules la belle musique de Michel Magne et la présence d'acteurs comme Lino Ventura ou Jean Bouise sauvent le spectateur de l'ennui.