La guerre des espions (Masahiro Shinoda, 1965)

Si la vague réflexion politique reste très inaboutie, il faut reconnaitre au film de Shinoda un style élégant, résolument porté sur l'action. La profusion des personnages secondaires et l'exotisme des considérations claniques perd quelque peu le spectateur mais l'ensemble, d'une facture visuelle (le noir et blanc est très beau) réussie, se suit sans déplaisir.