
Le fils de Visage Pâle (Frank Tashlin, 1952)
Suite de Visage Pâle dont Tashlin était déjà scénariste, le film reprend les mêmes qualités que son prédécesseur : un Technicolor superbe (plus encore que l'opus de McLeod), une Jane Russell pleine de charme et un sens incontestable du rythme sans doute hérité du passé de cartooniste du cinéaste. Mais ce sont aussi les mêmes défauts: cabotinage fatigant de Bob Hope, accumulation de gags inégaux et finalement bien peu de rire pour le spectateur des années 2020. Daté.