Le parfum de la dame en noir
(Francesco Barilli, 1974)

La référence à Gaston Leroux tient bien plus de l'hommage que d'une quelconque adaptation. Le soin apporté aux couleurs et à l'éclairage, la très belle musique Nicola Piovani, l'architecture romaine et cet entre-deux permanent entre giallo et film horrifique sont à mettre au crédit de cette oeuvre par ailleurs difficile à cerner. La faute sans doute à une progression dramatique un peu absconse. L'ambiance intéresse visiblement plus Barilli que le récit. Reste cette séquence finale, glaçante et inoubliable.