Salinma
(Lee Yong-min, 1965)

S'il n'est pas exempt de défauts, il y a tout de même de bons moments dans ce drame horrifique (les vingt premières minutes, très prometteuses) où la cellule familiale sud-coréenne et plus particulièrement les femmes en prennent pour leur grade. En cela, le film est profondément réactionnaire. Et si les effets ont aujourd'hui un acquis un certain charme, on ne peut pas en dire autant du jeu outrancier des comédiennes. Daté mais sympathique.