Le triangle de feu
(Edmond T. Gréville, 1932)

Les débuts du cinéaste sont difficiles pour ne pas dire complètement ratés. Les balbutiements du parlant sont moins visibles que l'indigence totale de la mise en scène et la pauvreté des enjeux. Nous sommes face à une sorte de feuilleton policier à l'intrigue ridicule et aux personnages sans épaisseur, sans parler de la nullité de l'ensemble de la distribution. Le montage alerte ne suffit pas à sauver le spectateur d'un total ennui.