![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiuDbFMWSR39aenZmxpK7dbxsG-MUGZlaEUXYE1KsQrdDb2wPouKZk6kPcSi5ILAEHpt1I_9HoUNAsfPNNBD-gx5sPhS7r5Hp0gR6tt4Cddmww2Vp5nc-3QO-EfO-ivgIMRfbBtXh8DKD5iQtX-SkwLAbrRDeOpNR5VexecCm6KjccC_imO5Wcz4AVkxc3b/s1600/13thchair.jpg)
La treizième chaise (Tod Browning, 1929)
La théâtralité de la mise en scène, le jeu affecté des acteurs, l'intérêt tout relatif de l'histoire... tout cela contribue à l'insondable ennui du spectateur. Le premier film parlant de Tod Browning semble accaparé par cette seule nouveauté : c'est bavard et, à bien des égards, tout à fait ridicule. Pour un cinéaste qui s'est tant de fois illustré par ses talents de conteur et de metteur en scène, The 13th Chair fait figure d'anomalie. Très justement oublié.