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La légende Zatoichi: le masseur aveugle (Kenji Misumi, 1962)
Le premier volet de la célèbre saga est un bon chanbara à l'excellente facture visuelle (la photographie est à tomber). On loue aussi le caractère anti-spectaculaire du film qui refuse toute surenchère (même le duel final se distingue par sa sobriété). La mise en scène élégante s'attache à valoriser les sens surdéveloppés du héros de manière astucieuse. Belle morale finale sur la justice et l'honneur.