La Habanera
(Douglas Sirk, 1937)

D'un ennui mortel. Si quelques très rares scènes (le plus souvent entre la mère et l'enfant) touchent le spectateur, le reste est tellement plat, sans intérêt et porté sans conviction, que le film accuse son âge de manière significative. Bien malin qui pourrait là entrevoir le Sirk des grands mélos américains. Et puis, des personnages suédois et brésiliens qui parlent en chleuh à Porto Rico... rien de tel pour ne pas s'impliquer dans le récit.