Les proies du vampire
(Fernando Mendez, 1957)

Une déclinaison intéressante du mythe de Dracula sous les latitudes mexicaines. Plastiquement très abouti, le film devient rapidement un poème macabre où chaque plan révèle le talent du cinéaste et des artistes au service de l'oeuvre. Si la faiblesse de l'interprétation peut faire tiquer, il faut tout de même reconnaître l'efficacité du film et sa fidélité à l'oeuvre de Bram Stocker.