Man on a Swing
(Frank Perry, 1974)

Polar excessivement poussif dans lequel Perry, pourtant habitué à traiter des sujets plus finement, nous livre une lecture totalement grotesque d'une enquête (apparemment inspirée de faits réels) parasitée par la présence d'un medium qui a tout du charlatan. La prestation de Joel Grey est ridicule, son jeu totalement affecté et irritant au possible. Au milieu de cette hystérie jamais canalisée et faussement angoissante, Cliff Robertson semble peu concerné. Une déception.