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Violent Panic: The Big Crash (Kinji Fukasaku, 1976)
Le générique et les premières minutes font immanquablement penser à un poliziottesco de la même période (caméra à l'épaule, bande originale, hyper-expressivité des acteurs et de la mise en scène). A certains égards, on retrouve même l'hystérie des films transalpins les plus irritants du genre. En témoigne cette hallucinante séquence finale, interminable course-poursuite presque illisible à force de véhicules et de protagonistes. Un polar épuisant.