Les invitations dangereuses (Herbert Ross, 1973)
Un scénario de petit malin (unique tentative d'Anthony Perkins) mais dieu que c'est long ! Pendant plus d'une heure et demie, le spectateur est pris dans un jeu de massacre particulièrement soporifique, avant que le dernier quart du film ne vienne le sortir de sa torpeur. Tout s'éclaire alors mais Herbert Ross n'étant pas un grand cinéaste ni le montage, ni la mise en scène ne parviennent à insuffler un peu de vie à un ensemble artificiel. Bancal donc, mais il y a James Coburn (qui cabotine un maximum) et James Mason (comme toujours parfait) dedans.