La femme en bleu (Michel Deville, 1973)

Le charisme du couple vedette est pour beaucoup dans l'appréciation globale d'un film qui parait toutefois laborieux. Un peu bancal, comprenant certaines longueurs (signe que le cinéaste ne maîtrise pas toujours son sujet), il recèle tout de même quelques beaux moments de tendresse. La séquence rythmée par Schubert et mettant en scène Piccoli se ressourçant dans sa maison de campagne est assez merveilleuse, il faut le reconnaître.