Robin des mers (Jean-Pierre Mocky, 1997)

Un naufrage. On passera avec bienveillance sur la naïveté politique du propos, on sera en revanche plus sévère face à la nullité de la mise en scène, la photo complètement dégueulasse (une habitude chez Mocky mais là on atteint des sommets) ou bien encore les performances catastrophiques des "acteurs" (avec, en prime, une irrésistible envie de gifler le jeune héros). Du travail pathétique, même pas digne d'un téléfilm pour France 3 région, et 80 minutes interminables.