Péchés de jeunesse (Maurice Tourneur, 1941)

Le dernier film français d'Harry Baur se révèle particulièrement laborieux et sans imagination. Cette production Continental réalise les ambitions de ses décideurs: un cinéma sans vague ni remous qui condamne, à de rares exceptions près, les réalisateurs à des rôles de simples exécutants. Décevant.