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Violette et François (Jacques Rouffio, 1977)
Les comédiens sont bons et les intentions particulièrement louables mais l'incapacité de Rouffio à transcender son sujet par sa mise en scène et/ou sa captation de la France giscardienne fait que le film reste cantonné à son très conventionnel motif sentimental. On en ressort frustré et déçu. Le cinéaste se montrera bien plus convaincant l'année suivante avec Le sucre, film autrement plus réussi.