
Panique au music-hall (Antonio Santillan, 1958)
La pauvreté de la mise en scène, purement illustrative, n'aide pas à se passionner pour ce film sans âme. Le scénario cherche à aborder plusieurs genres en même temps mais ne les traite que superficiellement, et, de fait, ne convainc jamais. L'unique mérite de Cita impossibile réside dans l'écriture et l'interprétation du personnage du voleur haut en couleurs, oasis au milieu du désert.