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La cabeza viviente (Chano Urueta, 1963)
Vétéran du cinéma mexicain (50 ans de carrière du muet aux années 70), Chano Urueta a logiquement épousé toutes les modes, parmi lesquelles le genre gothique mâtiné d'horreur (ou l'inverse, c'est selon). Ici, de vieilles légendes aztèques servent de prétexte à un film aux allures de catastrophe : aucun rythme, des acteurs laissés à eux-mêmes, une intrigue risible et une mise en scène inexistante. Restent deux ou trois plans d'une violence certes suggérée mais qui fait son effet. C'est peu.