Assassin
(Peter Crane, 1973)

Ian Hendry est le principal argument en faveur de ce polar plein de promesses mais dont les qualités s'étiolent au fur et à mesure du récit. La violence de l'introduction, la précision documentaire de la mise en scène au début et le flou volontaire qui entoure le personnage principal sont autant de points à mettre au crédit du film. Malheureusement, tous les personnages ne sont pas écrits avec une égale justesse (le personnage féminin, si ce n'est pour donner le change à la solitude de l'assassin, ne sert à rien) et la séquence du hangar alourdit de la narration. Dommage.