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Marie-Martine (Albert Valentin, 1942)
Traitement lénifiant, histoire guère passionnante, niaiserie du personnage incarné par Blier, Jules Berry dans un énième rôle de salaud, Renée Saint-Cyr peu crédible dans le rôle de la femme dont tout le monde s'éprend... c'est peu dire que Marie-Martine a bien du mal à capter l'attention du spectateur. Heureusement, une séquence vient le sortir de sa torpeur : celle de l'oncle avec un immense Saturnin Fabre, génial d'anarchisme fatigué et mélancolique.