La vie de plaisir (Albert Valentin, 1944)
Les dialogues sont souvent savoureux mais la narration est inutilement alourdie par la volonté des auteurs d'y ajouter des scènes de tribunal justifiant l'argument (selon deux points de vue, celui des avocats). Du coup, l'ensemble parait quelque peu répétitif. Dommage, d'autant que les acteurs, Albert Préjean en tête, sont vraiment bons et que la caméra du cinéaste est plutôt alerte.