Gustave est médium (Louis Feuillade, 1921)
On comprend que les effets aient pu paraître remarquables à l'époque, notamment la séquence du déménagement qui est le point d'orgue de cette aimable fantaisie. C'est également la limite du film puisqu'il semble surtout être un prétexte à l'inventivité visuelle de Feuillade, au détriment parfois de la mise en scène et du rythme. Et Georges Biscot, sorte de grand frère français de Stan Laurel, en fait des tonnes.