Alouette, je te plumerai
(Pierre Zucca, 1988)

Derrière le caractère irascible et manipulateur de son personnage principal, Zucca développe un film aussi curieux qu'intéressant sur le mensonge, l'appât du gain et, surtout, sur la vie. Chabrol forme un duo épatant avec Jean-Paul Roussillon (la danse réjouissante sur Lucienne Delyle), sortes d'éternels enfants coupés du monde adulte. Lucchini et Valérie Allain complètent cette excellente distribution. La fin est remarquable.