L'enfant du diable (Peter Medak, 1980)
Le cinéaste fait preuve d'un réel talent dans la gestion de l'émotion et de l'angoisse, en témoignent évidemment ces premières minutes déchirantes et le développement de l'intrigue dans la maison. C'est aussi un modèle d'utilisation du hors-champ puisque la majeure partie des éléments de l'histoire sont suggérés plus que montrés (à l'exception de la scène décisive). George C. Scott est comme à son habitude parfait et le film marque par son efficacité.