La dame sans passeport
(Joseph H. Lewis, 1950)

Un film progressiste sur l'immigration (voir la dernière réplique) qui devait paraître percutant à l'époque mais qui aujourd'hui fait sourire par sa naïveté. Et si l'incontestable beauté de Hedy Lamarr et des Everglades sont des atouts non négligeables, la paresse d'une écriture stéréotypée apparaît comme un handicap difficilement surmontable. On est loin des chefs-d'oeuvre du cinéaste.