Légitime violence (Serge Leroy, 1982)

Plastic Bertrand sur scène en guise de générique, voilà qui file une grosse suée d’entrée ! Mais comme ça ne sert strictement à rien du point de vue du scénario, le spectateur est vite soulagé: c’est en réalité une réflexion sur l’auto-défense alors même que le film sort un an après l’abolition de la peine de mort en France. Comme le scénario est signé Manchette, ce n’est pas sans intérêt même si le trait est un peu gros (avec une conclusion en référence explicite à l’assassinat de Kennedy). Les plus pervers voudront apercevoir furtivement les seins de Véronique Genest.