Justice de flic (Michel Gérard, 1986)

Au bout de cinq minutes, Frank Dubosc, gigolo qui en pince pour Clémentine Célarié, manque de se faire couper la bite avec une tondeuse à gazon par une bande de malfrats qui ne plaisantent pas. Voilà. C'est tout. Le reste (c'est-à-dire la mise en scène, le scénario, la musique, les acteurs -oui, même Maurice Rish-, la photographie...) est d'une nullité affligeante et la condamnation de ce film à l'oubli est parfaitement justifiée. Au dixième degré, les amateurs de nanars pourraient sauver ce navet.