La clé sur la porte (Yves Boisset, 1978)
Le progressisme du récit peut séduire mais les personnages adolescents sont tellement stéréotypés et mal interprétés qu'il est difficile d'émettre un jugement bienveillant. Le regard de Boisset est (comme à l'habitude) d'une lourdeur pachydermique et ce ne sont pas les acteurs principaux, bien peu inspirés, qui relèveront une sauce terriblement fade.