La ferme des sept péchés (Jean Devaivre, 1949)
Les premières minutes laissaient présager un film aussi original que La dame d'onze heures. Malheureusement, le récit est ici plus routinier et la structure divisée en différents flash-back ne permet pas de rehausser l'intérêt tout relatif du scénario. Autre grief: l'omniprésence d'une musique peu nuancée qui finit par être assourdissante. Seule la déambulation forestière de Jacques Dufilho incarnant l'idiot du village, rupture de ton intéressante (quoi qu'un peu hors-sujet), sauve le spectateur de l'ennui.