Le pélican (Gérard Blain, 1974)

La sobriété de la mise en scène et l'attention particulière faite à la composition des plans n'empêchent pas l'émotion d'affleurer constamment. Un drame de la paternité d'une pudeur remarquable où les regards comptent autant que les mots, où le bonheur fugace de partager quelques heures avec son gamin vaut tout l'or du monde. L'acteur y est magnifique.