Arsenal (Alexandre Dovjenko, 1929)
Un film qui ne plaira qu'aux universitaires affidés au PCF. Il faut se bousculer pour ne pas sommeiller devant ce pensum idéologique et avoir le courage de se farcir l'indéniable mais finalement insupportable précis de cinéma. Le lyrisme de certains plans et la force du montage n'y changent rien, l'odeur de naphtaline est trop forte.