La passion Béatrice (Bertrand Tavernier, 1987)

Une catastrophe à tous les étages. On comprend mieux à la vision du film pourquoi celui-ci est complètement oublié lorsqu'il s'agit d'évoquer Tavernier. La réalisation passablement hésitante, un rythme soporifique, des comédiens pathétiques et une musique insupportable: la coupe est pleine. La beauté des paysages languedociens ne sauve malheureusement rien. La passion Béatrice est un navet irrécupérable, indigne de son auteur.