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L'homme aux nerfs d'acier (Michele Lupo, 1973)
D'un côté il y a l'improbable rencontre entre Lee Van Cleef et Jean Rochefort (dans le rôle d'un trafiquant de drogue de grande envergure), de l'autre des accents comiques qui tombent complètement et systématiquement à plat, la faute en grande partie à un Tony Lo Bianco en roue libre. Au milieu, une histoire typique de caïd enclin à la vengeance. L'ensemble est moyennement tenu et la course-poursuite chorégraphiée par Rémi Julienne tutoie des sommets de ringardise. Une curiosité évitable (sauf si l'on souhaite voir Edwige Fenech dénudée).