Themroc (Claude Faraldo, 1973)

Le problème majeur du film vient que l'anarchie de son propos n'a d'égale que l'anarchie de sa forme. Théoriquement pourquoi pas mais la farce tourne à vide et la singularité des situations ne parvient rapidement plus à maintenir l'attention du spectateur. La volonté iconoclaste de l'auteur est certes louable mais Themroc finit par être réduit à une seule anecdote: l'apparition d'un Patrick Dewaere  pas encore auréolé du succès des Valseuses. Abrutissant et daté.