Tendre voyou (Jean Becker, 1966)

Si les dialogues d'Audiard sont souvent savoureux, le cabotinage tout belmondonien peut cependant rapidement lasser. C'est un festival constant mais Jean Becker n'a pas la fantaisie ni le port aristocratique d'un Philippe de Broca qui lui aurait assuré de passer à la postérité. Sympathique mais oubliable.