
Roar (Noel Marshall, 1981)
L'hallucinante prise de risque des acteurs justifie à elle seule la réputation de film le plus dangereux jamais réalisé revendiquée par la production. Antithèse de la fable écologiste propre sur elle, Roar peine cependant à aller plus loin que son concept complètement fou, la faute à un scénario inexistant et à des personnages sans envergure.