
Le chignon d'Olga (Jérôme Bonnell, 2002)
Un premier film plein de promesses où l'économie de la mise en scène sert parfaitement l'intimité de personnages qui se démènent avec leurs peines de cœur et leurs proches. C'est frais, drôle par moments, et l'ombre tutélaire de Sautet n'est jamais très loin.