Le chignon d'Olga (Jérôme Bonnell, 2002)

Un premier film plein de promesses où l'économie de la mise en scène sert parfaitement l'intimité de personnages qui se démènent comme ils peuvent (souvent avec maladresse) avec leurs peines de cœur et leurs proches. C'est frais, drôle par moments, et l'ombre tutélaire de Claude Sautet n'est jamais très loin (ce qui n'est pas un maigre compliment).