
La rose de fer (Jean Rollin, 1973)
Un film à part. Si le jeu des acteurs peut sembler un peu théâtrale ce film se distingue avant tout par sa poésie macabre, par l'incroyable caractère hypnotique des déambulations baudelairiennes des héros. Il faut certes adhérer au projet sous peine d'y voir une véritable purge mais l'audace de l'auteur est à souligner. En deux mots: rare et remarquable.