Entrée des artistes (Marc Allégret, 1938)

En dépit de la théâtralité rébarbative de la mise en scène, du désintérêt total qu'on éprouve à assister aux futiles amourettes des jeunes comédiens du conservatoire et de l'incongruité de la trame policière, le film fonctionne sur un ressors: la présence du très grand Louis Jouvet au générique. A ce titre, et uniquement à ce titre, le film se laisse regarder. Du cinéma convenu, sans imagination.