![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMlfjcoLZ_2Er6zMyZZ8el_NnTFsm6EcgPNFza1xwRL6ahqDag7Qg9fVjm3Q5yWE9A-lI9eVyDtQEt__MmGH3AChQqRpiY7U1rkUz7kfnWqN1brTJ-bD4f_ISTWhQPqVl9Q2WtedCnYqAG/s1600/Meninwar.jpg)
Côte 465 (Anthony Mann, 1957)
Un film de guerre épuré, à la manière de ceux que réalisa Fuller au début de la décennie, qui laisse de côté le conflit pour se concentrer sur les hommes. Ici, point d'héroïsme, point d'antimilitarisme: des doutes, des peurs, des certitudes qui vacillent, des existences qui visent la survie. La mise en scène de Mann est d'une sécheresse remarquable, le scénario dépouillé à l'extrême et les acteurs, portés par le duo Robert Ryan-Aldo Ray, formidables. Chef-d'oeuvre.